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Periodontal health : the microbiological context.
I would like to express the important benefits to the clinician and the client that are the viewing of the microbial environment through a phase contrast microscope. The scrupulous study of the microbial flora in the majority of my clients over the past twelve years, allowed me to confirm the important work of Dr. Trevor Lyon on periodontal disease. I was able to observe varied flora as many circumstances of the pathology of my clients, whether caries, periodontal diseases , imbalance of the oral flora , or systemic diseases.
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The image of the microflora is a lively graphic filled with information as if the gingival sulcus showed us all its forms, all its color and all its activity. It is so easy to see the bacteria in the form of shells, cluster or chain, filaments, plaque than normal is termed, its evolution in time, then, when the disease comes along, all the varieties of spirochetes , vibrios, motile rods, rare or frequent presence of epithelial cell types often variable leukocytes depending on the circumstances, neutrophils still at work or those already dead at the battlefield and forming this oozing pus that is too often the bottom of this fragile crevasse. Not to mention amoeba always present in periodontal disease and absent in healthy furrows and disturbing trichomoniasis and candidiasis typical of some states.
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gingivitis plate: strong > spirochetes em> and high motility.
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Normal plaque: cocci , filaments, epithelial cell , low motility
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amoeba (Entamoeba gingivalis) and leukocyte infection in periodontitis.
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The image of flora in phase contrast microscopy gives us a very accurate assessment of what is happening inside the sulcus and is very different in a context of periodontal health, periodontal disease, tooth decay or general deficiency. Both the quality and quantity of these cells give us information. Even feverish conditions and significant systemic diseases have different characters in the type of leukocyte found there. Not to mention taking medicines affecting the salivary medium, the type of flora, etc. This leads me to establish very different treatment therapies as oral problems and can, at least, as some of our European colleagues, qualify the plate: consistent or inconsistent with periodontal health. For my part, I agreed, and even the work of Dr. Lyon that highlight the pathogenicity of oral parasites.
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Can we with our knowledge, let in the mouth of periodontal patients, such parasites reproduce and fill a crevasse this active? Of course, a bacterial scrupulous qualitative definition by genus and species is decent and I agree. However, I know that few clinicians do elaborates studies of bacterial flora through analysis, culture or other biochemical tests and use these informations to direct therapies, and this, in there all days practice. My experience tells me that rather bacteriological studies are not available, undrawn generally and even discouraged face the problem of microbiological material transport across the border in specialized laboratories. If however one can perform, the fact remains that the results are a page with elaborate percentages for us clinicians to make certain decisions pharmacological order and the patient sees only an incomprehensible jargon!
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clusters of white blood cell forming pus.
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Regarding the results of microscopy, I think they are extraordinary intelligence and they lead to therapeutic success. The regular microbiological control of the sulcus flora by simple and effective pest control pharmacological announcement within weeks an almost magical enhancement of client clinical conditions: stopping bleeding, decreased mobility, rapid improvement of breath, oral comfort unprecedented. This climate brings moreover a trust and an important link in addition to a tenacious bond between client and clinician. In addition, the customer is able to participate in his therapy because it week by week noted the progress of its flora towards health.
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Comment ne puis-je pas féliciter un client d'avoir hâte de visualiser ses succès du mois et de me donner la permission de continuer sa démarche vers la guérison? Ces contrôles réguliers et rigoureux nous amènent souvent à utiliser des formes locales de pharmacothérapies adaptées au moment et au client. Celles-ci sont aussi ajustées à son état de santé systémique. L'utilisation judicieuse d'une thérapie systémique peut aussi être convenable en autant qu'elle est adaptée selon le climat parasitaire, bactérien ou fongique. En fin de course, avec une thérapie non chirurgicale, facile d'accès, exempte de curetage ou d'aplanissement, en enlevant simplement les débris de tartre dans un environnement non sanguignolant, nous en arrivons à recréer chez les clients une restructuration parodontale avec une moyenne d'élimination de 85% des crevasses pathologiques ( résultats cliniques de l'auteur ). Bien sûr, les techniques de regénérations demeurent toujours possible et les greffes conventionnelles sont encore appropriées si nécessaire, d'autant plus qu'elles se font à ce moment dans un climat bien contrôlé et non infecté.
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Trichomonas tenax, des spirochètes et quelques neutrophiles.
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Par contre les résultats des thérapies essentiellement chirurgicales semblent donner des résultats moindres et demandent un effort beaucoup plus élevé de la part du client et du praticien. Enfin, le contrôle périodique par voie microscopique nous permet de nous assurer de la santé à long terme de la gencive tout en nous donnant l'occasion de nous assurer qu'il n'y a pas réinfection.
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Nous avons parcouru le contexte médical pour nous rendre compte que nos confrères médecins traitent les parasites intestinaux avec grand succès. On les qualifie déjà de pathogènes à partir du moment où ils se nourissent de globules rouges! Les trichomoniases vaginales sont aussi traitées par millions chaque années en prenant soins de traiter aussi le conjoint alors que nos trichomonas buccaux et nos amibes sont complètement ignorés des dentistes parce que quelqu'un quelque part, il y a plus de cinquante ans s'est prononcé sur leur non pathogénicité. Les microbiologistes consultés parlent plutôt de controverse! On parle beaucoup de contamination croisée et de désinfection des pièces à main dans les cabinets dentaires, alors qu'on laisse les conjoints s'embrasser avec des parodontites nauséabondes sans s'en soucier. Ou est le juste milieu? Je vois pourtant souvent chez mes clients, saisis devant l'écran du microscope, des questions insoutenables sur l'épidémiologie de cette maladie pendant que les parasites se nourissent de leur globules blancs. Il ne s'agit pas que de macrophages. Quelle forme d'immunité acceptons-nous sans riposter? Qui donc gère cette flore? Cette flore si visible, qui s'en soucie? L'application des méthodes de nos confrères médecins donne des résultats plus que prometteurs. L'histoire nous dit que la mise en évidence d'Hélicobacter pylori a été suivie d'un coup de barre immédiat dans les traitements ulcératifs de l'estomac avec des résultats sans précédents, et surtout l'arrêt des thérapies chirurgicales. Qu'attendons-nous en tant que professionnels dentaires? Notre expérience est restreinte. Trop peu de dentistes utilisent le microscope parce qu'ils sont peu encouragé par le milieu universitaire essentiellement porté vers la recherche fondamentale. L'exemple le plus déroutant est la parodontose juvénile ou la flore est complètement incompatible avec la santé parodontale et dans cette situation précise, le retour à une flore normale amène d'emblée une guérison immédiate.
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Candidose conséquente à une antibiothérapie prolongée.
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Entamoeba gingivalis succionnant le noyau d'un leucocyte dans un cas de parodontite de grossesse.
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La présence de poches parodontale chez l'enfant de 6 ans est anormale de même que la présence de parasites! Tout cela redonne un peu d'humilité au dentiste traitant et remet au client la responsabilité de sa prise en charge et lui redonne de surcroit son droit de choisir de traiter une banale infection, plutôt que de recevoir d'éternels commentaires sur son brossage déficient alors qu'il est souvent raisonnable.
La co-thérapie microscopique devient malgré tout de plus en plus accessible et pratiquée par un nombre grandissant de nos confrères. Ceux-ci sont soucieux de comprendre le phénomène parodontal et relatent tout comme nous des succès importants tout en ayant rangé les curettes à cément. Il faut par contre utiliser des protocoles clairs et concis permettant de visualiser cette situation microbienne. La cueillette protocolaire de la flore au niveau des premières molaires inférieures, pour vous donner un exemple rapide, est une erreur flagrante alors que le sillon affecté est situé sur une toute autre dent.
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Trois amibes actives dans une parodontite chronique.
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Il est plus que temps de démontrer le succès de cette approche. Elle était déjà prometteuse en 1914 malgré qu'elle ait sombré dans l'oubli suite à l'absence de médication appropriée. Le Dr Trevor Lyon, ce clinicien et grand chercheur canadien nous a bien démontré ses qualités exceptionnelles depuis 1984. L'écoute de ses théories a été mystifiée par les écoles bactériennes. L'Europe nous montre maintenant la voie de la microscopie active mais dans une école plus générale et moins rigoureuse à notre avis. Qu'à cela ne tienne, l'important c'est que le client constate son état et visualise sa guérison. Nous croyons que le clinicien, éclairé par la microscopie, a tout autant le droit de traiter son client que le clinicien dont la perspective fondamentale est bactérienne. Il est d'ailleurs dommage qu'à cet égard trop peu de laboratoires de microbiologie moderne ne soient disponibles afin d'éclairer nos décisions cliniques alors que bien souvent la thérapeutique chirurgicale est déjà débutée.
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Ces moyens conventionnels mis en œuvre dépassent largement la portée de notre connaissance microbiennes. Bien sûr vous me direz que l'élimination des parasites buccaux détruit aussi les bactéries anaérobiques pathogènes! Et pourtant même si la bactériologie demeure votre perspective essentielle, n'y a t'il pas plus belle cible que ces amibes évidentes? A plus forte raison, la rationalité du traitement eu égard à toutes ces écoles de pensée, donne priorité à l'état de santé général du client et considère tous les états cliniques d'hygiène buccal, le degré d'inflammation, la localisation précise des défauts osseux et l'environnement physique parodontal iatrogénique ou accidentel, etc. L'avantage de la microscopie réside dans la visualisation inconditionnelle de l'état du sillon parodontal de l'établissement du bilan de l'activité ainsi que de la route à utiliser pour retrouver la flore compatible avec la santé. Elle permet au client de participer activement à sa thérapie et le clinicien perd son
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Nid d'amibes dans la crevasse parodontale à progression rapide.
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statut de grand docteur magicien pour celui de facilitateur empathique. Le client a l'avantage de choisir de voir ou non la collection purulente de son sillon infecté et de prendre la décision à savoir s'il veut restaurer une flore représentative de la santé parodontale. Le choix du traitement est aussi à élaborer conjointement dans toute la panoplie chimiothérapeutique que nous révèle la médecine actuelle.
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Alors que la crevasse parodontale grouille systématiquement de parasites, de suintements jaunâtres et de pus nauséabond, que peu de dentistes n'ont ni l'outillage microscopique ni la formation pour en informer leur patients,ils en sont encore à procéder à la circoncision aveugle de la gencive inflammée et à réprimander leurs patients sur leurs soins d'hygiènes, sans même leur parler de la transmission de l'infection!
Les maladies de la gencive
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L'amibiase est une infection de la bouche par Entamœbia gingivalis. Cette amibe est un organisme qui vit au dépens de l'hôte. Malgré une hygiène de la bouche acceptable, ce parasite semble associé à une détérioration importante de la gencive.
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Dans de nombreux cas, d'autres parasites et champignons tels les Trichomonas (à gauche) et les Candidoses prospèrent de façon judicieuse en s'attaquant à l'hôte, tout en se jouant de son système immunitaire.
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La formation de pus au contact de la dent est fréquente et la perte des dents en est la redoutable conséquence, sans mentionner les problèmes d'halitose désagréable ainsi que les effets sur votre santé générale.
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La médecine actuelle traite deux espèces semblables, les infections amibiennes et les vaginites à trichomoniases (2,5 millions par année aux USA), à l'aide d'antibiotiques topiques et systémiques en prenant soin de traiter le partenaire.
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Peu de dentistes ont la formation et l'outillage microscopique pour informer les patients de la présence de cette flore pathogène formant de véritables nids de parasites dans leurs gencives. La majorité des soins apportés consiste encore à procéder à la circoncision aveugle de la gencive inflammée et à réprimander le patient sur ses soins d'hygiène, sans même leur parler de la transmission de l'infection! |
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Nous préconisons des traitements doux de type médical et pharmacologique, adaptés aux besoins du client et semblables aux nouvelles thérapies utilisées lors des infections pour les ulcères d'estomac par Hélicobacter pylori.